Il n’y a pas que les émissions directes de CO₂ auxquelles les entreprises doivent réfléchir. Les entreprises responsables tiennent également compte de l’impact de leurs chaînes d’approvisionnement en choisissant des partenaires durables ou, lorsque le choix est limité, en faisant pression sur les fournisseurs pour qu’ils changent. Tous les matériaux sont-ils fournis de manière éthique? Sont-ils recyclés? Avec combien d’emballages sont-ils mis sur le marché? Jusqu’où ont-ils été envoyés? Autant de questions que nos entreprises se posent.

Avant de commencer à élaborer des plans de réduction des émissions de CO₂, les entreprises doivent connaître leur situation de départ et l’impact potentiel de toutes les initiatives proposées, afin de pouvoir concentrer leurs ressources sur les domaines les plus utiles. C’est ce qui nous a guidés, chez VINCI Energies, dans l’élaboration d’une feuille de route réaliste, avec des objectifs intermédiaires clairs pour atteindre la neutralité climatique d’ici 2050.

Chez VINCI Energies, nous avons constaté que sur nos sites où nous payons les factures d’énergie uniquement en passant à des tarifs d’électricité verte, nous pouvons obtenir une réduction immédiate de 8% des émissions de carbone. Nous nous efforçons également d’économiser l’énergie, de réduire l’impact de notre chaîne d’approvisionnement et de limiter les déplacements professionnels.

L’optimisation des processus est synonyme de durabilité. Chaque matériau économisé, chaque trajet évité se traduit par des économies de CO₂. Les processus de travail des entreprises doivent être repensés afin d’identifier tous les potentiels que renferme la chaîne de création de valeur. De nombreux processus, qu’ils soient internes ou externes, peuvent être optimisés pour être plus durables. Seul un changement culturel continu peut générer des économies à long terme.

Les entreprises n’atteindront pas leurs objectifs de réduction des émissions de CO₂ si les collaborateurs et collaboratrices ne s’impliquent pas. Ils doivent comprendre quelles sont les options plus écologiques qui s’offrent à eux, comment ils peuvent s’engager, quels avantages personnels ils en tireront et quelle sera leur contribution dans l’objectif global. Confier aux collaborateurs et collaboratrices la responsabilité personnelle des initiatives environnementales ou les encourager à rendre compte de leurs décisions peut entraîner des changements positifs au sein de l’entreprise.

Pour parvenir à une réduction des émissions dans le domaine de la mobilité, il faut d’abord sensibiliser le personnel. L’adaptation des règlements sur les voitures de service, la conversion des véhicules utilitaires, les formations à la conduite, les vélos électriques, la création d’infrastructures adéquates (bornes de recharge, …) sont autant de points pris en compte dans notre plan d’action. La Direction de VINCI Energies s’est saisie de ce sujet et les premières mesures seront réalisées rapidement.

Il n’y a pas que les émissions directes de CO₂ auxquelles les entreprises doivent réfléchir. Les entreprises responsables tiennent également compte de l’impact de leurs chaînes d’approvisionnement en choisissant des partenaires durables ou, lorsque le choix est limité, en faisant pression sur les fournisseurs pour qu’ils changent. Tous les matériaux sont-ils fournis de manière éthique? Sont-ils recyclés? Avec combien d’emballages sont-ils mis sur le marché? Jusqu’où ont-ils été envoyés? Autant de questions que nos entreprises se posent.